Alors qu'elle semble atténuer les conséquences du défaut
d'information du médecin, la jurisprudence expose le
médecin salarié à un recours de la part de l'assureur de son employeur. L'agent général se voit également exposé un
recours de la part de son assureur mandant.
On assiste à un renforcement de la
responsabilité du fait d'autrui des groupements sportifs et de loisirs censés assurer le contrôle et la direction, au moins temporaires, de leurs adhérents...
Mais les
parents restent responsables du fait, même non fautif de leur enfant, et même si celui-ci est confié à une
colonie de vacances, qui n'est pas chargée d'organiser et de contrôler à titre permanent le mode de vie de l'enfant...
La notion de faute est de plus en plus sous-jacente au régime d'indemnisation des
conducteurs (vitesse excessive, aloccolémie...), tandis que le piéton n'a jamais à supporter la conséquence financière de sa faute, quelle que soit la gravité de celle-ci.
Toute clause ambigüe d'un contrat d'assurance
s'interprête nécessairement en faveur de l'assuré.
Mais la consécration d'un principe de
secret absolu des correspondances entre avocats va obliger à trouver des solutions pour valider les accords passés par leur intermédiaire, lesquels devront faire l'objet de protocoles signés par leurs clients.